En 1929, un jeune poète de vingt-quatre ans fait paraître Ni père ni mère à Budapest, où il est connu des cercles intellectuels et littéraires. Poète au lyrisme puissant, au style profondément original, il chante sa misère, son désespoir, ses amours et sa révolte. Ni père ni mère fait de lui l’un des poètes majeurs de l’entre-deux-guerres.
Il donnera quatre recueils encore, avant de se suicider en 1937. Éluard, Tzara, Cocteau et bien d’autres lui rendront par la suite un éclatant hommage.
Traduit et présenté par Guillaume Métayer
Editions Sillage, 2010