« Dans ce roman du dilettantisme douloureux jusqu’au sang, vous nous faites partager sans vergogne et avec malice tout votre savoir sur l’art et sur la vie d’artiste, et ce faisant vous plongez dans l’abîme, côtoyant toute la mélancolie, toute l’horreur et tout le ridicule de la vie. Ironie et conscience : les deux éléments n’en font qu’un, et c’est là le fondement de la poésie. »
Thomas Mann, Lettre à Kosztolányi (4 juin 1923).
Non Lieu, 2012
Traduction : Thierry Loisel